martes, octubre 8, 2024
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Revue de presse COVID-19

En Première Bachibac, nous avons profité du confinement pour nous intéresser au déroulement de la pandémie du Covid-19 dans différents recoins de la francophonie en en consultant la presse. Du Luxembourg à la Polynésie, ou du Québec à Madagascar, l’impacte du virus et la gestion de la crise sont souvent très différents de ce qu’ils sont en Catalogne.

C’est l’un des articles créés. Vous pouvez voir le reste des œuvres en visitant ce lien.

Algérie: Le Covid-19

par Adrià Dalmau

Le Covid-19 est une pandémie qui a frappé la population mondiale avec une grande agressivité. Plus concrètement, nous parlerons de l’impact du virus en Algérie.

Le 25 février était diagnostiqué le premier cas de Covid-19 en Algérie. Le garçon qui donnait positif  était d’origine italienne. La pandémie continuait à s’étendre à travers tout le pays et arrivé au vingtième cas positif, le gouvernement ordonnait le confinement national.

Dès le début du confinement les choses ont commencé à être plus compliqués: l’économie du pays commençait à baisser, à cause du faitque beaucoup de familles ont perdu leurs emplois. Pour de nombreuses familles la situation est intenable sur le plan social. Les emplois les plus affectés à ce sujet sont ceux des travailleurs qui doivent être embauchés par d’autres personnes puisqu’il ne peut y avoir de contact entre humains.

Le traitement du Covid dans le domaine de la médecine est similaire à ce que font les autres pays . Ils essaient que tous les professionnels du domaine de la médecine restent unis et qu’ils s’efforcent de travailler le plus dur possible pour sortir le pays de la crise qui les entoure. L’Algérie est un pays qui ne dispose pas des mesures préventives nécessaires pour que les médecins et les pharmaciens puissent effectuer leur travail facilement et sans risque d’infection. Pour le moment, l’Algérie ne traverse pas l’un de ses meilleurs moments. Actuellement, plus de 4000 personnes ont reçu un diagnostic de covid-19 et environ 500 sont déjà décédées.

Le gouvernement veut prendre des mesures plus préventives et éviter de faire des erreurs qui pourraient entraîner une rechute de la population. En raison de la grande catastrophe mondiale, le gouvernement algérien refuse de céder au fatalisme.

En faisant une comparaison entre la situation du pays africain et celle que nous vivons actuellement en Catalogne, on constate facilement que les deux pays sont dans des situations très similaires. L’un des principaux problèmes rencontrés par les deux nations est la fourniture de matériel sanitaire aux sanitaires impliqués dans cette lutte.

Tous deux ont traité la situation de contagion de la même manière, ont essayé de faire prendre conscience aux gens, en disant qu’ils ne devaient pas quitter leur domicile et qu’ils devaient suivre les mesures préventives imposées santé. La situation économique des deux pays est à des moments similaires. Les deux connaissent l’une de leurs plus grandes crises de ces dernières années et des tas d’employés ont perdu leur emploi. Certaines des différences qu’ils ont eues entre eux sont: la vitesse à laquelle les gouvernements ont réagi, lorsqu’ils ont ordonné l’internement. L’Algérie l’a fait alors qu’elle n’avait que vingt diagnostiqués infectés, tandis que l’Espagne a mis beaucoup plus de temps. D’un autre côté, la principale différence est le projet de désescalade. L’Espagne a un plan conçu pour quelques jours. Le plan fonctionne par phases et tous les quinze jours, des améliorations seront apportées aux conditions de vie des populations. Au lieu de cela, le gouvernement algérien travaille avec plus de prudence et aucun plan concret n’a encore été préparé pour cette désescalade.

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